Ennuagée annonce une fragilité par une poétique de la porosité et de la précarité, mais active plutôt une force qui vient de la matière même de la vulnérabilité, que l'autrice met non pase en scène, mais en mots, mots qu'elle align sur un fil qui devient peu à peu trajectoire - Revue Liberté #336, Jennifer Beaudry pour Ennuagée.
Les poèmes d'Alizée Goulet sont délicats dans toutes leurs formes. Ils chuchotent presque. Leur grande force se trouve dans le courage qu'ils déploient pour plonger au creux du vide, du deuil, pour embrasser les fantômes, pour les faire crier comme remonte la vie. - Sabord #127, Valérie Forgues pour La tiédeur des sépultures.